10/05/2025

Mon troisième marathon 2025... en mode Gladiateur !

posté à 22:23 dans "Saison 2025"

Hello,
après les marathons d'Osaka le 24 février dernier et celui de Tokyo 6 jours plus tard, le 2 mars, en 4H37 et 4H39, j'avais un peu le "sum" de passer la barre des 4H et encore pire, celle des 4H30...
Je ne désespère pas...

Entre le décalage horaire du trip au Japon, la fatigue accumulée aussi avec toutes les visites et excursions, j'avoue avoir eu du mal à me remettre "dedans" ; et si j'ajoute à tout ça, le semi en Corse, à Ajaccio fait en 1H52...... je n'ai "rien" fait pour "arranger" la forme...

Entre séances de nat de 3000 à 3800m, Home Trainer bien sûr et un peu de CAP essentiellement sur le tapis je n'avais pas trop la pêche... jambes un peu dans le vague, souffle aléatoire, c'n'est pas beau d'veillir, lol.

Malgré tout, j'avais quand même la niaque et l'envie de retrouver un chrono plus proche des 4H.
Chat Gpt m'a fait un plan mais je ne l'ai pas suivi, la flemme surement en + de la fatigue, entre les vacations nocturnes de 12H08 et mes 10 milliards d'activités journalières.

Alors je lui ai demandé de me prévoir un chrono... et voilà sa réponse :

Merci pour les infos, c’est super clair.
Alors en résumé :
Semi d’Ajaccio en 1h53 début avril = bon indicateur d’endurance.
Ta séance de 21 km dimanche dernier bien gérée, avec une progression maîtrisée.
Tu cours en costume de gladiateur = ça va un peu ralentir à cause de la chaleur, du frottement et du poids.
Ton objectif initial de 4h reste jouable, mais réalistement, en prenant en compte le costume, tu peux viser entre 4h05 et 4h15. Si tu pars prudemment à 5'50–6'00/km sur les 25 premiers km, puis que tu tiens autour de 5'45/km sur la fin (ou au moins que tu ne craques pas), un temps autour de 4h10 est très probable.


C'était positif mais un peu décevant de savoir que le "sub 4" n'était pas "jouable" ! Bon j'avoue que sans lui je m'en doutais, lol, ça ne faisait que confirmer ma forme actuelle. Même si l'IA ne sait pas tout et ne peut pas "deviner" l'état physique de quelqu'un, la forme du jour et tout ce qui fait que les jours vont et viennent et ne se ressemblent pas. Il donne une indication, mais rien de plus. C'est à prendre... ou à laisser.

En décidant quelques jours avant de courir ce marathon en me déguisant, je confirmais que le chrono devenait obsolète, seule la "finish-line" avait un intérêt... en + de la médaille :)
J'ai terminé la création du casque vers 3H du mat... le TGV partait à 10H30...

Jour J...



Avec des centaines d'yeux rivés sur mon costume, je n'avais pas le "droit" de faillir... car comme le dit si bien cette réplique de ce monument du cinéma, Gladiator, "ce que vous faites dans la vie, résonne dans l'éternité". Dans la vie, on n'en n'a qu'une, il faut se faire plaisir, oser les choses, défier la logique, sortir des sentiers habituels. Parfois, je ne sais ni pour qui, ni pour quoi je fais des choses mais au moins elles ont le mérite d'exister :)

Après avoir laissé Marc s'échapper vers le SAS des élites et Olivia quelques mètres derrière moi, sous les coups de boost de Jay Style le speaker, le départ est donné.
Sur les conseils de Jean-Pierre V. je décide de partir cool, entre 5'50 et 6' au kilo.
Mais j'avoue que j'ai du mal, j'ai l'impression d'être trop lent, mais peu importe, il faut que j'essaie... je n'ai rien à perdre, mais tout à gagner.

J'ai toujours les yeux sur la Garmin pour me "calmer", malgré les supporters qui ne cessent de m'encourager : "aller centurion", "oh, bravo césar", "allez astérix", "allez le romain"... et j'en passe.

Malgré l'envie, les kilomètres défilent mais je n'arrive pas à garder l'allure souhaitée et pourtant ce n'est pas faute de m'y forcer...
5'26, 5'14, 5'24, 5'20 ou encore 5'35, les 5 premiers kilomètres sont "trop rapides".
Mais je ne désarme pas...



5'37, 5'41, 5'37, 5'40 et 5'42 pour arriver 10ème kilo que je boucle après 55'15.
C'est moins pire que je ne pensais même si c'est malgré tout trop rapide pour la suite.

Il commence à faire chaud sous le casque et la tunique mais je suis "bien". Je m'hydrate régulièrement avec mon bidon de H4. Les encouragements sont toujours aussi entrainants, j'avoue que sans ce costume je serais comme tous les autres concurrents, "invisible". C'est peut-être ça aussi la clé de la réussite d'une course, se "démarquer" !
Mais depuis le km 4, j'ai un mal de ventre qui ne passe pas et j'ai beau chercher des toilettes, elles restent inconnues au bataillon. J'ai beau repousser l'échéance, il va bien falloir que "maximus" fasse un arrêt au stand pour une "vidange", faute de quoi il ne sera pas possible de finir en l'état.

5'50, 5'40, 5'31, 5'33, 5'31... déjà 15 kils de mangés et les jambes sont toujours bien, elles répondent comme il faut, pas trop vite même si j'ai encore du mal à les freiner.



Le 16ème passe et je croise les leaders de la course. Quelques secondes plus tard, c'est marco que je croise... une fusée souriante, déjà vers le 26ème kil... près de 10 d'avance... ouch !!! il a une foulée de champion le "champagneulais", lol.

5'30, 5'39, 5'44, 5'32, et 5'31 en passant le km 20.
Mon allure est très régulière mais depuis quelques kilomètres je me tors le bide, c'est insoutenable.
Pas le choix, je profite de cette entrée de champ pour m'effacer entre les arbres à quelques mètres. Deux minutes plus tard, je reprends le circuit à l'endroit où je l'ai lâché, mais les jambes ne sont plus les mêmes. Ce n'est pas le chrono qui m'indique que j'ai passé le semi après 7'23, soit en 1H58'40 qui me chagrine, j'ai bien passé 2' en "pause", mais ce faux plat qui se termine par cette bosse me cisaille les pattes. Le nom de cette commune n'aide pas... elle s'appelle "la Thuile"...
Je ne peux pas faire autrement que de marcher pour terminer cette fin de côte.
La descente n'est pas meilleure et là, la tête me dit "Nico t'es mal barré, le retour va être plus long et douloureux", même si ça ne m'empêche pas de prendre la pause, lol.



6'08, 5'46, 5'53, 6'06... je m'accroche en voyant passer la banderole des 25 kms mais j'ai du mal. Il fait chaud mais je m'hydrate, peut-être pas assez d'ailleurs. J'en suis à mon second gel "coup de fouet", ça me fait du bien mais il ne m'en reste plus qu'un, malheureusement.
Jean-Pierre m'avait dit de partir moins vite et après d'accélérer... malheureusement l'ordre s'est inversé.

6'21, 6'04, 6'19, 6'37 et 7'06 en arrivant au "mur" des 30 kms.
2H54'59 et il me reste 12 kms... encore ou plus que, c'est selon.

Le mental est entamé mais les encouragements me font du bien, même si mon costume de gladiateur est plus souvent perçu comme celui de César ou d'Astérix... allez comprendre...



6'38, 6'39, 7'22, 6'51 et 7'58 pour le 35ème.
Beaucoup de concurrents marchent désormais. Je m'astreins à trottiner comme je le peux, sans trop m'arrêter, en encourageant celles et ceux qui sont dans le dur.
J'ai hâte de voir la fin, j'avoue.

Si je prends du plaisir dans la douleur ? Cette douleur n'est "rien petit scarabée", lol. J'avoue que parfois c'est dur mais comme l'écrivent certains sur des panneaux "n'oubliez pas que vous avez payé pour faire ça". Oui c'est vrai, mais si un marathon c'était facile, ça se saurait. Il y a des moments hauts et des moments bas mais si tous mes marathons avaient été difficiles, je n'en n'aurais pas faits autant.

C'est mon 34ème marathon aujourd'hui...



Je m'accroche même si parfois je marche "vite" au niveau des ravitos ou quand je crois déceler une côte. Je sais que je le finirai, maintenant je commence à faire des calculs... et si je mettais moins de 4H30, c'est à dire moins de temps qu'au japon, ce ne serait quand même pas logique avec un déguisement aussi "encombrant" !
A suivre...

7'23, 6'59, 7'27, 7'04, 7'52... c'est dur mais il n'y a plus que 2 kilomètres plus quelques mètres. Le chrono indique 4H07, enfin réellement 4H10 parce que les panneaux et ma Garmin ne sont pas d'accord... ils veulent me faire courir plus longtemps, comme à Tokyo, pffff

Même en faisant les 2 derniers en 8', ça me ferait terminer sous les 4H30. J'avoue que j'en serais déjà très content...

Le public qui est de plus en plus dense, les encouragements qui augmentent me donnent des "ailes" et les douleurs s'effacent...

6'43, 6'33... allez, encore quelques centaines de mètres... que je bouclerai à 5'40 au kil.



Comme un "vrai gladiateur", à quelques mètres de la ligne d'arrivée, je m'arrête, j'enlève mon casque, je m'agenouille et je présente mon épée en l'air...

Veni, védi, vici... comme l'avait dit César en parlant au Sénat de sa victoire contre Pharnace.
Tel un Gladiateur qui, avant son combat aurait pu dire "Ave Caesar, morituri te salutant", j'ai bouclé mon 34ème marathon après 4H24'34... me classant 2421ème sur un peu plus de 5000 concurrents. Mon allure moyenne de 6'16 au kil n'est pas si pourrie que je l'aurais pensé...
A noter que l'ultime finisher a passé la ligne après 6H04... félicitations, surtout quand on voit le nombre d'abandons...



Maintenant j'ai le droit à une petite pause... prochain objectif, le triathlon M de St-Malo début juin, puis les 70.3 de Westfriesland fin juin et l'Ironman de Vitoria Gasteiz début juillet. La fin de saison avec le marathon de Chicago début octobre est encore loin...

Merci d'avoir lu ces quelques lignes.

PS : Olivia a terminé après 5H25, avec une vilaine blessure au genou et Marc en 2H44 (s'offrant la 40ème place)... chapeau l'artiste !
Sarah, malheureusement blessée n'a pas pu faire la course... mais elle nous a encouragés !!! :)




Allez, à la r'voyure !

 


20/04/2025

J-6 pour mon 34ème Marathon, autour du Lac d'Annecy...

posté à 22:36 dans "Saison 2025"

Hello,
après Osaka fin février, Tokyo 6 jours plus tard et le semi d'Ajaccio voilà 15 jours, la saison 2025 ne connait pas beaucoup de temps de repos, j'avoue.

Vendredi, direction la lisière des alpes en compagnie d'Olivia, Sarah et Mark pour prendre le départ de la 44ème édition du Marathon "International" du Lac d'Annecy. Comme tous les autres, 42.195 kms à parcourir, mais dans un cadre à priori, vraiment sympa, entre lac et montagne.

Le tracé ne fait pas le tour du lac, au plus grand regret des organisateurs, c'est un aller retour sur le même tracé, d'un seul côté. L'avantage au moins est de pouvoir croiser ses amis sur le retour, lol.

Le dénivelé annoncé est de "seulement" 85m. La plupart des "bons coureurs" aiment ce type de D+ quasi plat, c'est un faible D+ en général adapté pour faire de bons chronos. Perso je préfère les circuits vallonés parce que quand ça descend, on peut récupérer un peu (même s'il faut taper un peu dans l'dur quand ça monte). A Berlin, je n'ai pas eu de moment de "calme". En gros, une fois parti, on cale une vitesse et on essaie de la tenir pour tenter de valider son objectif. Le tracé malgré tout montre quelques petites bosses à Annecy... en espérant qu'elles soient à mon avantage, lol.





L'avantage du décor, contrairement à l'épreuve allemande, permettra au mieux moins d'avoir la tête "dans les nuages" et pas dans les immeubles !
Avec plus de 4500 partants l'an dernier, chiffre en hausse tous les ans, je pense que nous serons au moins autant, ou peut-être près de 5000. C'est sûr que par rapport à mes dernières expériences au départ desquelles nous étions plus de 45000, ça va me faire bizarre...
Mais c'est bien aussi de ne pas être trop de milliers... surtout dans un décor de campagne !



Pour ce 34ème opus, je serai en mode "Gladiateur", pour tenter "encore" de viser un sub 4, même si depuis quelques années, je n'y suis jamais plus parvenu.
Ma dernière "réussite", c'était en 2022, j'avais franchi la ligne d'arrivée de celui de La Rochelle 6' avant les 4 heures, mais depuis, les 8 dernières tentatives ont été vaines. Que ce soit en raison de blessures, de mauvaises prépas ou autre il n'y a pas de miracle, un marathon c'est long, c'est physique alors la moindre petite faille peut vite gangréner le système.

Je ne désespère pas d'arrêter bientôt mon chrono avec un 3 en premier sur l'écran de ma Garmin... l'espoir fait vivre !

Le seul "hic", ce s'rait trop beau sans... c'est que depuis plusieurs semaines, la rotule de mon genou gauche se "bloque". Selon le toubib, cela est dû au fait que pendant mes séances HT je muscle plus les quadris que les ischios, ce qui relève la rotule. C'est ce qu'on appelle le syndrome fémoro-patellaire, ou syndrome rotulien, voir hyperpression fémoro-patellaire ou encore subluxation rotulienne intermittente. Pour "résorber" ce souci, il faut... plusieurs semaines d'exercices, basiques certes, mais réguliers et surtout sans trop d'effort... alors... @ suivre !

@ un de ces 4, mais en attendant, bonne lecture...

 


09/04/2025

5-9-6, le "tiercé" dans l'ordre de ma nouvelle "fusée".

posté à 22:52 dans "Saison 2025"

Hello
voilà quelques semaines, en "surfant" sur le bon coin du triathlète, j'ai vu une annonce dans l'chnord... un annonce qui m'a accroché et ne m'a pas lâché.

Quelques jours plus tard, après un p'tit aller-retour en TGV je pouvais fixer les roues sur la machine avant d'aller faire quelques hectomètres. Quelques petits réglages par-ci, quelques autres réglages par là et aujourd'hui la "fusée" est opérationnelle.

Le look 596 est sorti en 2009, mon année Embrunman. A l'époque il était promu par Fred Belaubre, double champion d'Europe et bien sûr champion de France. Laurent Jalabert également était l'un des "promoteurs" de la marque look et donc de ce LOOK 596 Red Tri.



Un Cadre aérodynamique...
Le cadre du LOOK 596 a été basé sur l’aerodynamisme. Une géométrie optimisée du cadre sans oublier la continuité des formes entre le Tube Diagonal, le Boîtier de Pédalier et le Triangle arrière.

La fourche déportée est extrèmement importante puisqu'elle fait office de bord d’attaque du vélo complet. Lorsque l’on regarde le vélo de face on se rend compte que le cadre "disparait" presque complètement derrière la fourche tant elle fait office de carénage. La potence intégrée et indexée participe quant à elle à la rigidité du poste de pilotage.

Le 596 bénéficie d’une technologie de fabrication particulière basée de 3 sous ensembles monoblocs : le triangle avant complet incluant le tube de selle et les 2 ensembles base -haubans monoblocs gauche et droit. Une technique issue de l’aeronautique qui permet d’augmenter les surfaces en contact et donc la résistance et la rigidité de la zone de raccordement.

La potence, composée de 2 bras en carbone, permet un réglage indexé en rotation et offre 2 possibilités de point de départ (haut et bas), ce qui permet un réglage fin de la position de pilotage tant en hauteur, qu’en longueur.

Bref, plein d'arguments et j'en passe, pour me confirmer que j'ai fait "un bon choix", lol



Pour être franc, c'est surtout le design et la couleur qui m'ont fait craquer.
Un LOOK original, pas comme tout le monde, bref tout ce qui me caractérise, ce côté "unique" qu'on ne voit pas partout... même si en mode "vintage" comme il a désormais plus de 16 ans.
Une "belle petite bête" pour rouler "officiellement" sur le M de St-Malo le 8 juin, le 70.3 de Westfriesland le 22 juin et l'Ironman de Vitoria Gasteiz le 13 juillet.
Une façon de m'amuser sur de belles moyennes... @suivre !

Allez, à la r'voyure !

 


31/03/2025

Ajaccio, J-6...

posté à 20:19 dans "Saison 2025"

Hello,
eh oui, dans moins d'une semaine, direction l'île de beauté pour un p'tit séjour sportif, agrémenté de "bronzage" (si la météo le permets, lol) sur la route des Sanguinaires !

Un p'tit semi comme "excuse" pour aller faire un tour en Corse, l'histoire d'un WE.
Ce p'tit retour, 4 mois après mon séjour à Ajaccio, pour "surveiller" sa souveraineté le pape, lors de sa visite insulaire.

Le semi partira le dimanche matin, depuis la Statue MARCAGGI à 9H en même temps que le marathon ; non j'ai hésité mais je me suis "calmé", lol. Surtout que le semi durera moins longtemps, ce qui nous laissera plus de temps et moins de fatigue pour nous balader et pourquoi pas aller piquer une tête dans la méditerranée.

Toutes infos du semi sont ICI

Pour l'occasion, je n'ai pas pu m'empêcher de me floquer un tee-shirt pour marquer le coup.
Certes il est très "bi-patriote", mais bon, dans l'île, c'est un peu logique, mais je reste breton, lol.
On a les mêmes couleurs de drapeau, ça aide, hi, hi, hi...

Je n'ai bien sûr pas puoublier de faire un p'tit clin d'oeil à l'asso Les P'tits Doudous.





Une course "cool" dans le cadre de ma prépa pour le marathon d'Annecy, 3 semaines plus tard, avant les "grosses" échéances en juin et juillet.

Allez, à la r'voyure !

 


19/03/2025

Ajaccio, Annecy et Chicago...

posté à 15:39 dans "Saison 2025"

Hello
les premières échéances sont à peine terminées qu'il faut déjà s'y remettre pour attaquer la suite...

Oui je sais, il y a bien longtemps que je ne m'autorise plus 40 jours de pause après un marathon... alors que dire de 2 ? lol

Le 6 avril, direction la Corse pour aller re-courir sur la route des Iles Sanguinaires, au départ d'Ajaccio pour un semi ensoleillé. L'objectif est d'accompagner Olivia pour l'aider à passer sous la barre des 2H... Le circuit est plutôt plat + faux-plat, avec un retour plutôt avantageux, alors il n'y a pas de raisons de ne pas y arriver. Et puis, plus vite on arrive, moins on fatigue longtemps, lol.



Le 27 avril, là, ce ne sera plus la même "danse"... puisque je prendrai le départ de mon 3ème marathon cette année, le 34ème au total (sans compter ceux des 7 Ironmans), à Annecy, le long du lac. Je n'ai pas trop de bons souvenirs de cet endroit en terme de sport puisqu'en 2015 j'avais dû "bâcher" le trail du Grand Raid 73, au 17ème km, après 3H30 de run...
Les mauvais "sorts" sont faits pour être chassés, alors Annecy sera l'occasion de remmettre le sourire sur cet endroit. Bien évidemment je ne désespère pas d'enfin revenir à un Sub 4 mais comme mes prévisions sont sans cesse mises en l'air depuis quelques temps, on va dire que tout ce qui sera près des 4H sera déjà bien.



... et pour Chicago ?

Bon j'avoue, j'ai "encore" craqué... il ne me manque maintenant plus "que" 3 marathons pour décrocher la "6 Stars Medal". Alors je me suis dit qu'en faisant Chicago le 12 octobre prochain, il ne me restera plus que Boston et Londres. En 2026, Boston a lieu le lundi et Londres le dimanche qui suit. J'ai démontré cette année au Japon que c'était jouable de faire 2 marathons en moins d'une semaine alors si ma bonne étoile me permet de décrocher les dossards pour ces 2 épreuves en 2026, à Londres je pourrai accrocher autour de mon cou cette belle médaille tant convoitée.
Mais comme je suis soit sur liste d'attente, soit sous le coup d'un tirage au sort... je reste patient et prudent, mais j'avoue que je serais très déçu de ne pas pouvoir les faire.
@ suivre donc !



Mais d'ici là, j'aurai l'Ironman 70.3 de Westfriesland aux Pays-Bas et l'Ironman de Vitoria Gasteiz au pays basque espagnol pour continuer à m'entrainer et je l'espère un peu, progresser en CAP pour arriver opérationnel dans l'Illinois.

Il faut dire que depuis mon AVC j'ai quand même levé le pied, en prenant aussi un peu de poids, ce qui s'en ressent sur les chronos mais tant que j'ai l'envie, je continue... Quand je vois qu'à Osaka, je termine à la 16252ème place sur 28420 finishers ou encore 15739 sur 26706 à Tokyo, je me dis que j'ai encore de la marge avant de finir devant la voiture balai, lol...
Alors tant que je "gagne", je joue.

J'ai déjà fait plus de 260 compétitions (tous sports confondus : Triathlon, CAP, VTT, Trail, RAID, etc...) alors "plus que 40" et la barre des 300 sera atteinte. Je n'ai répertorié que celles depuis 1995, avec un "oubli" de "notes" entre 1998 et 2003. Au final ça ne fait qu'une 10aine par an, ce qui n'est pas monstrueux, même si certaines années ont été presque "vides" (merci le covid) d'autres ont été chargées.

Et toi, tu en es à combien ?

Ok, je >>>

... il parait que la qualité prime sur la quantité, lol.

Allez, à la r'voyure !

 




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