Hello,
et oui, même quand on n'est pas très "cheval" (à part dans les lasagnes... lol) on peut prendre du plaisir, ressentir des émotions et apprécier un film qui en parle, et en fait l'apologie...
En allant voir "Jappeloup" la semaine dernière, j'avoue avoir été très surpris de ce que dégage ce film. Dèjà, quand je vois qu'un film dépasse l'heure cinquante, voir deux heures, en général on est rarement déçu... et là, avec 2H10 de projection, ce ne fut que du bonheur.
Une distribution vraiment bien choisie ; parce que quand on peut lire sur l'affiche des noms comme Daniel Auteuil, Jacques Higelin, Tcheky Karyo ou encore Guillaume Canet, on peut déjà prévoir de belles choses... ajoutez à ceux-là, Lou Delâge, Marina Hands, Marine Bunel ou encore Joël Dupuch et le cocktail devient détonnant.
Côté histoire, même si comme tout film tiré d'une histoire vraie, on connait la fin, il n'empêche que chaque minute nous garde sa part de suspens, en nous faisant monter l'adrénaline et l'émotion.
Une très belle histoire "chevaleresque" (lol), mais aussi humaine qui nous fait vibrer et vivre depuis l'intérieur cette histoire.
Vraiment un très bon film... merci à Christian Duguay et à toute son équipe...
Synopsis :
Au début des années 80, abandonnant une carrière d’avocat prometteuse, Pierre Durand se consacre corps et âme à sa passion, le saut d’obstacle. Soutenu par son père, il mise tout sur un jeune cheval auquel personne ne croit vraiment : Jappeloup. Trop petit, trop caractériel, trop imprévisible, il a de nombreux défauts mais une détente et des aptitudes remarquables. De compétition en compétition, le duo progresse et s’impose dans le monde de l’équitation. Mais les JO de Los Angeles sont un terrible échec et Pierre prend alors conscience de ses faiblesses. Avec l’aide de Nadia, sa femme, et de Raphaëlle, la groom du cheval, Pierre va regagner la confiance de Jappeloup et construire une relation qui va les mener aux JO de Séoul en 1988.
@ un de ces 4, quand j'aurai quelque chose d'autre à vous écrire ! Bye...
